D’abord les îles Poncines, Ponza et Ventotène, très belles, même si la météo n’était pas très favorable avec des orages assez conséquents, éclairs, vent et pluie. Pas très agréable, que l’on soit au mouillage ou à quai: L’île de Ponza, île haute, très typique avec de grands paysages marqués par une géologie complexe, un port vivant et bien agréable avec des maisons colorées. P1070030r75.JPG P1070036r75.JPG P1070046r75.JPG P1070056r75.JPG P1070058r75.JPG

Ces îles étaient très conviviales avec une grande fête de 10 jours sur Ventotène avec lâché de ballon (tous les habitants de l’île rassemblés sur le parvis de l’église puis sur la grande place pour la fête populaire) et des aménagements bien particuliers comme le port creusé par les romains. P1070083r75.JPG P1070095r75.JPG P1070101r75.JPG

Par contre, Naples se mérite : trouver une place pour mettre le bateau à l’abri, pas que de la météo, est un exercice très complexe sauf à ne pas regarder à la dépense, utiliser des transports en commun avec des horaires très aléatoires et dans des conditions qui ne mettent pas forcément en confiance. Puis monter, descendre des ruelles plutôt mal pavées, bruyantes souvent sombres, taguées mais tout cela pour une visite très intéressante, très contrastée et une journée bien agréable à flâner et s’imprégner de l’âme de la ville . P1070174r75.JPG P1070209r75.JPG P1070219r75.JPG

Les îles avoisinantes, Procida au nord et Capri au sud, ont également un certain charme: la première avec cette partie de village sans rue, surplombant le port, P1070138r75.JPG P1070148r75.JPG P1070152r75.JPG P1070153r75.JPG P1070161r75.JPG

et la seconde avec des paysages grandioses (nous n’y avons pas débarqué, les conditions de mouillage et de temps ne le permettant pas ; pour dormir, il fallait avoir le cœur bien accroché !) 245

La presqu’île de Sorrentes est également très surprenante, avec par exemple ce village bien particulier de Positano accroché à la montagne, très touristique aussi. P1070271r75.JPG P1070274r75.JPG P1070275r75.JPG

Par contre en Calabre, nous avons trouvé une ambiance beaucoup plus calme, de fin de saison, P1070294r75.JPG P1070315r75.JPG P1070321r75.JPG P1070328r75.JPG

et des paysages beaucoup plus banals sauf au niveau de la vieille ville de Tropéa qui valait une bonne visite. P1070346r75.JPG P1070354r75.JPG P1070360r75.JPG

Enfin les îles éoliennes avec ses volcans. La visite du Stromboli à 900m d’altitude, à la nuit tombante est un magnifique spectacle. P1070367r75.JPG P1070384r75.JPG P1070398r75.JPG P1070418r75.JPG P1070429r75.JPG P1070437r75.JPG P1070438r75.JPG P1070439r75.JPG P1070444r75.JPG P1070462r75.JPG

Après un mouillage de jour à Panaréa P1070475r75.JPG

l'île de Vulcano nous apparait tout aussi surprenante avec les multiples fumerolles: P1070483r75.JPG P1070488r75.JPG P1070496r75.JPG P1070510r75.JPG P1070513r75.JPG P1070515r75.JPG P1070526r75.JPG

Nous sommes maintenant sur la côte nord de la Sicile, à Milazzo (la ville est très attirante vue de la mer mais décevante quand on est à terre) et nous allons continuer vers le détroit de Messine pour rejoindre la côte sud où nous devrions mettre le bateau en hivernage (à la marina da Ragusa) d’ici une quinzaine de jour.